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Votre diététique2019-07-02T10:37:06+02:00

Votre diététique

plus de 15 ans d’expérience

Optimiser son bien-être, sa santé et sa qualité de vie par la nutrition

  • Susciter un questionnement sur vos habitudes de consommation et faire émerger vos solutions

  • Vous accompagner à votre rythme, dans le respect de votre mode de vie et de vos préférences alimentaires
  • Développer votre sens critique et votre autonomie pour des choix alimentaires éclairés

La nutrition préventive

Une alimentation équilibrée, diversifiée et adaptée à vos besoins est un facteur de bonne santé. Au-delà du besoin physiologique, l’acte de se nourrir doit rester plaisir et partage, dans une atmosphère conviviale, pour votre bien-être physique et mental.

La consultation de bilan permet :

  • De prendre connaissance de l’historique de votre santé (antécédents personnels et familiaux, allergies alimentaires, etc.) ;

  • D’analyser vos habitudes de consommation dans le but d’identifier les déficits et inadéquations (insuffisance ou excès) d’apports en nutriments et micronutriments ;

  • De prendre en compte vos résultats d’analyses biologiques ;

  • D’identifier d’éventuels facteurs de risques nutritionnels, métaboliques, cardiovasculaires, etc.

Au total : Une stratégie nutritionnelle personnalisée, qui sera réévaluée au cours de chaque consultation de suivi et réajustée selon vos besoins, pour vous permettre d’atteindre vos objectifs de santé.

La perte de poids

« Oubliez les restrictions caloriques sévères, les interdits alimentaires.. »

Les régimes amaigrissants peuvent avoir des conséquences sur le plan clinique, biologique, comportemental ou psychologique ; c’est ce qu’avait conclu l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) dans son rapport d’expertise en 2010. Certains régimes restrictifs peuvent induire des déficits et des inadéquations d’apports (insuffisance ou excès), notamment en vitamines et minéraux.

Comment atteindre et gérer durablement votre poids de forme sans frustration :

  • Élaborer ensemble, au moyen du bilan nutritionnel (évaluation qualitative et quantitative de vos habitudes de consommation), votre stratégie nutritionnelle dans le respect de vos préférences alimentaires et de votre mode de vie ;

  • Ne s’interdire aucun aliment (sauf allergie alimentaire) mais intégrer les aliments « plaisir » dans une alimentation équilibrée et diversifiée, modérément hypocalorique, en définissant vos repères de consommation ;

  • Pratiquer régulièrement une activité physique (progressive, adaptée et ludique) permettant d’améliorer votre composition corporelle (maintenir ou augmenter votre masse musculaire et réduire votre masse grasse).

Votre maternité

David Barker, épidémiologiste, explique que les maladies métaboliques ont leurs origines très tôt dans la vie.

“Events in utero, which reduced fetal growth, permanently alter the structure and physiology of the offspring such that the risk of heart disease and diabetes in later life is increased”

  • Evaluer et optimiser votre statut nutritionnel au cours du bilan pré-conceptuel ;

  • Assurer la couverture des besoins nutritionnels spécifiques de la femme enceinte par des repères de consommation ;

  • Encadrer votre prise de poids en fonction de votre poids initial et retrouver votre poids de forme en post partum ;

  • Gérer au mieux votre glycémie en cas de diabète gestationnel par une répartition glucidique adaptée (nature des glucides, quantité et répartition journalière) ;

  • Réussir votre projet d’allaitement.

La nutrition pédiatrique (nourrissons, enfants et adolescents)

Chez l’enfant, la consommation de sucre et de produits sucrés expose à des risques de carences. Toutefois, ceux-ci ne doivent pas être interdits ou diabolisés mais peuvent être consommés de façon modérée après s’être assuré de la couverture des besoins essentiels.

  • Comment apprécier l’efficacité des tétées ? Votre bébé est-il bien positionné au sein ?

  • Comment choisir le lait infantile pour votre nourrisson ?

  • La diversification alimentaire doit-elle être abordée de la même manière s’il existe des allergies dans la famille ? Quelles sont les fenêtres d’introduction des aliments à risque ?

  • Que faire si votre enfant refuse de manger ?

  • Quels sont les aliments qui permettent de couvrir les besoins en calcium, vitamine D, fer et acides gras essentiels de vos enfants, particulièrement pendant l’adolescence (accélération de la vitesse de croissance) ? Dans quelles proportions ?

  • Comment assurer l’adéquation entre les apports et les dépenses énergétiques lorsque votre enfant pratique une activité physique intensive ?

La nutrition du sportif

La nutrition est un facteur de performance, de santé et de prévention des blessures. Celle-ci doit être planifiée pour chaque sportif en fonction du type d’exercice, de l’intensité et de la durée mais aussi tout au long de la saison en tenant compte du programme d’entraînement et des compétitions (periodized nutrition).

  • Quels apports en protéines (nature et quantité) pour optimiser votre rapport poids/puissance ? A quel moment les prendre ?

  • Quels apports glucidiques pour préparer votre épreuve ?  Quels types et combien de glucides apporter pendant l’effort ? Comment les répartir ?

  • Quelle stratégie d’hydratation appliquer ?

  • Comment choisir vos produits diététiques de l’effort ? Comment adapter leur utilisation à votre pratique ?

  • Quels bénéfices/risques quant à l’usage des compléments alimentaires et des produits de l’effort vis-à-vis du risque de dopage et d’éventuels effets indésirables ? Depuis sa création en 2009 jusqu’au 16 février 2016, le dispositif national de nutrivigilence a relevé 49 signalements d’effets indésirables susceptibles d’être liés à la consommation de compléments alimentaires destinés aux sportifs visant à développer la masse musculaire ou à réduire la masse grasse (Avis de l’Anses, rapport d’expertise, novembre 2016).

L’analyse critique de vos compléments alimentaires

Le dispositif national de nutrivigilence, créé par l’Anses en 2009, a pour but de répertorier les effets indésirables susceptibles d’être liés à la consommation de compléments alimentaires, des aliments enrichis, des nouveaux aliments et des aliments destinés à une alimentation particulière (dont les aliments diététiques de l’effort).

Dans son bilan de 2017, l’Anses déclare que 91,5% des cas analysables concernaient des compléments alimentaires. Sur la base de l’analyse de ces cas d’effets indésirables, déclarés par les professionnels de santé, l’Anses publie des avis et des recommandations concernant notamment les boissons énergisantes, les compléments alimentaires à base de p-sinéphrine, de levure de riz rouge, de mélatonine, de spiruline ou encore à visée articulaire.

La consommation de compléments alimentaires ne doit pas se substituer à une alimentation équilibrée et diversifiée. Celle-ci suffit, pour la grande majorité de la population, à couvrir les besoins nutritionnels.

S’orienter vers un régime particulier (végétarisme, etc.)

Vous souhaitez réduire votre consommation de viande ou de produits laitiers mais vous vous questionnez sur les conséquences d’un tel régime alimentaire sur votre santé ?

  • Quels sont les risques d’insuffisance d’apports en nutriments et en micronutriments relatifs à vos choix alimentaires ?

  • Quels aliments privilégier pour palier à ces déficits ?

  • Surveiller vos statuts nutritionnels et micro-nutritionnels ; mettre en place, si cela se justifie, une complémentation adaptée (sur la base d’un dosage biologique préalable en collaboration avec votre médecin).

Les allergies alimentaires, les intolérances et les régimes d’éviction

Dans l’esprit des consommateurs, il existe souvent une confusion entre allergies et intolérances alimentaires.  Pourtant, elles ne mettent pas en jeu les mêmes mécanismes.

  • Comment décrypter les étiquettes pour assurer votre sécurité en cas d’allergie avérée ?

  • Comment observer un régime sans gluten strict à vie dans le cadre d’une maladie cœliaque pour réduire le risque de complications ?

  • Quels sont les éventuels défauts d’apports en nutriments et micronutriments inhérent à votre régime d’éviction ? Comment y remédier ?

  • Comment définir vos seuils de tolérance dans un contexte d’intolérance alimentaire (lactose par exemple) ou d’hypersensibilité au gluten non cœliaque ?

La nutrition thérapeutique

« Devenez Acteur de votre santé »

La bonne observance d’un régime thérapeutique repose sur la compréhension de votre maladie chronique et la bonne adéquation des consignes alimentaires à vos préférences et habitudes de consommation qu’il est essentiel de définir ensemble.

  • L’obésité, plus ou moins associée à des facteurs de comorbidité

  • Les dyslipidémies (hypercholestérolémie, hypertriglycéridémie, etc.) et autres facteurs de risques cardiovasculaires (hypertension artérielle, etc.)

  • Diabète (type 1 ou 2)

  • Insuffisance rénale chronique, hémodialyse

  • Cancers, etc.

Certaines maladies, comme le cancer ou l’insuffisance rénale chronique, exposent à un risque de dénutrition et nécessitent des apports particuliers.

  • Comment assurer des apports suffisants en protéines et en énergie ?

  • Quand et comment envisager le recours à une complémentation nutritionnelle orale (CNO) ?

  • Comment détecter précocement et prendre en charge efficacement la dénutrition au moyen de marqueurs biologiques de l’état nutritionnel, de l’évaluation de la fonction musculaire et lorsque cela est possible, la mise en place d’un programme d’activité physique adaptée (APA).

Une alimentation équilibrée, diversifiée et adaptée à vos besoins est un facteur de bonne santé. Au-delà du besoin physiologique, l’acte de se nourrir doit rester plaisir et partage dans une atmosphère conviviale pour votre bien-être physique et mental.

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